Orage, eaux des espoirs
Orage, eaux des espoirs, haut vieille haie, saine mie.
Neige donc temps vécu, que pour cette un famille.
Haine, suis-je blanchie dans l’étrave ? Os guéris et
Que pourvoir en un joug, reflète rires. Temps de l’eau, riez !
M’ombre à cave écœure, est-ce paix ? Tout te laisse, pagne à deux mires
M’ombre à quittant deux foies, à sot vé s’étend, pire.
Temps de foi à faire, mille trots, nœud de son roi.
Trahie, donc maquerelle. Haineux fers et rit un pou, remous, ah !
Eau crue est le sous-venir de ma gueule, Loire passée
Œuvre de temps, de joues rang nain, joue ré, fa c’est.
Noue, vêle, dis, nie, tais, fatal amont. Bon heurt.
Prés si pis s’élevaient, doutons. Beux : mon aune heure
Faute ! Ile dévote, trek las, voix, retrions, fais le compte !
Et mous rires sans vent, gens sous vivres d’Anla, ont-eux
Compte ? Soie de mon peu, rince après ans, gouverne heurt
Ce Oran n’a de mes poings un heaume sang, zoneur.
Ais ton jas, loue orgue, œil, part, Seth affronte un signe
Mal, grêle, eux choient dur où amant n’assure, rend drain, digne.
Ais toit de mes ex, ploie glorieux instrument
Mets d’un, qu’hors tous deux, glas si nu, Thyle, Orne, Mans
Faire jas, distant âcre Indre, hais quid, danse étoffe en ce
Mas servi de pas, rat de haie n’ont pas deux dés, fends ceux
Va, quitte des ors, mets le der nié des eues mains
Pas ce pour me vend, géant de Méï, heurts maints
Par ce que ça, ma muse ...