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Infiniment femme - Page 4

  • Samedi soir quelque part

    Les travaux du salon avancent à grands coups de couleurs vives ! Oups :)
    Les vacances sont consommées à moitié. Nous n'irons pas à Verdun, impossible d'envisager de faire 1600 km avec ce qui me reste de dos ... sciatique maudite mettant mes nerfs et ma philosophie à rude épreuve ...

    Nous allons donc profiter pleinement du printemps qui est déjà là, les jaunes jonquilles prêtes à éclore et la grand saule pleureur tout gonflé de bourgeons d'un vert tendre. Petite Fantastic a choisi des lunettes d'un violet profond et transparent, Grande Fantastic est sur une monture caramel quant à moi je vois la vie en rose, nous essayerons de faire une photo des trois relookées et ruinées ... oh mon dieu ... mon salaire d'un mois y passe ... le monde est fou.

    Cette semaine nous sommes allées à Lyon, très chouette fin de week-end, début de semaine, le début du tournage d'une émission avec les Fantastics, émission que vous retrouverez sur vos écrans au mois de juin !! Prochain tournage à la maison le week-end prochain ... viiiiiite finir le salon, gloups le budget lunettes a entamé le budget meubles du salon ...

    Lundi soir j'ai donc animé un débat sur la tolérance face au handicap avec Marie Garnier, après la projection d'intouchables. Je me suis laissée gagner par la même émotion qu'à la première projection, prendre la parole avec la voix qui tremble un peu devant ce public essentiellement composé de lycéens. Et puis le plaisir d'entamer le débat, rebondir sur les réflexions très justes de ceux qui ont pris la parole, répondre aux questions le coeur ouvert et conscient que parfois, parfois, un mot peut tout changer. Sous l'oeil toujours de la caméra. Puis donner la parole à mes trois plus grandes qui étaient là. Ma Grande se lever, faisant face à des jeunes en pleine interrogation et dire "Je suis Maxine, je vais avoir 18 ans, j'ai toujours connu ma mère comme ça, ce n'est pas toujours facile, jamais difficile" Je crois bien que j'ai reçu ce lundi soir un cadeau précieux. Merci ma chérie du fond du coeur.

    La fin de semaine a été vite croquée, il a fallu retourner dans les Alpes de Haute Provence pour reprendre Aron qui est donc de retour à la maison, pour autant l'aventure l'a bien calmé.

    On avance, on avance nous voici samedi soir, un samedi soir tout consacré à en préparer un autre, lieu d'un impact que rien n'arrêtera, magnitude force 9. Indicible sentiment de pleine vie, pleine peau, ce sentiment qui permet de transcender un simple samedi soir en instant précieux et des lettres sur un écran en poussière d'étoile.

    Un samedi soir, quelque part. Et vous où êtes-vous ?


  • Nocturne grandiloquence

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    free music





    Deux heures après minuit. La maison plongée dans un calme apparent après le tumulte des jours.
    Le chien commet ses derniers forfaits avant d'être enfin accueilli chez d'autres qui sauront peut-être exploiter son énergie qui me déborde jusqu'à me noyer. Mes oreilles voudraient n'écouter que Chopin et les notes de mon clavier que j'ajoute avec joie malgré la douleur qui, ce soir encore, me prive de sommeil et je l'entends manger quelque jouet égaré.

    Abstraction. De l'animal en partance, de la cruelle en résistance qui me rappelle d'autres nuits à écrire douleurs au rythme du Lacrymosa.

    Abstraction. Du vilain tour de la petite Fantastic qui a fait maison buissonnière à l'heure du goûter, trouvant goûter meilleur chez l'amie du village, mettant mon coeur de maman à l'épreuve de la disparition pendant une heure folle.

    Abstraction. Des dizaines de photo triées, rangées à l'occasion de la rénovation du petit salon. L'absence d'un pincement au coeur aux souvenirs évoqués, la joie même de retrouver les bouilles enfantines barbouillées ou déguisées, absence en écho d'un renouveau maintenant bien amorcé.

    Abstraction. Attraction.

    Attraction absolue des mots qui virevoltent dans mon esprit vers cet espace de liberté. Deux heures après minuit, des heures qui n'appartiennent qu'à moi, qu'importe qu'elles ne soient de sommeil si j'en fais des vers ou de la lumière avec du vide entre deux traits d'aquarelle. Transcendance de l'éphémère. Transformation de l'impossible en magique création. Goût immodéré pour l'enchantement qui, d'un coup de théâtre, métamorphose nuit d'enfer en subtil matin. Tant pis, je dormirai dans une autre vie ou après la mort, il sera bien temps de rattraper le sommeil en souffrance. Grandiloquence. Mot préféré de mes Fantastics. Grandiloquence, pour dire la richesse de l'existence quand on la goûte aux heures qui n'auraient du exister qu'en rêve.

    Confiance. Ne pas laisser l'angoisse du déjà demain aux traits tirés, pointer le bout de son vilain nez. Énumérer les évolutions, solutions, absolutions, révolutions, additions de possibles en douces addictions qui me rendraient nuits entières, plume diurne et nocturne mutité.

    Résonance magnétique. Etre avec vous qui dormez, je vous le souhaite, et entendre vos mots en écho aux miens à des heures plus raisonnables. Sauf si vous aussi, à deux heures après minuit, l'esprit vagabond et le coeur en théâtre d'émotions vous êtes quelque part, attelé à créer tableau plus concret que nos rêves.

    Si vous êtes là je vous invite, esquissons quelques pas, d'une valse lente, vertige à nos âmes, soeurs qui cherchent commun sommeil et trouvent extraordinaire vie.

    Ou comment lâcher prise et sauver raison, quand un nerf sous influence allume braise sous vos orteils, rite spirituel à demeure, sans vol, sans escale aux îles, ondes alpha en protection, en projection.

    Cette nuit j'ai dansé avec vous, n'en déplaise au marchand de sable, cendrillon aux pieds nus, déclamant vers en guise de rêves, superbe insolence, nocturne grandiloquence.

    Trois petits tours de valse, quelques jolies paillettes pour l'aube nouvelle, bonjour amis, deux heures après minuit !

    insomnie,douleur,transcendance


  • Etapes

    Petit à petit on avance. De toutes façons on ne peut pas reculer et il me semble que ça on le comprend assez tôt dans la vie, Petite Fantastic me disant ce soir "ah mais pourquoi on est déjà dimanche soir" !

    Un jour s'achève, un week-end, une semaine aussi par la même occasion. Une drôle de semaine avec une mise à l'arrêt sur prescription depuis mardi parce que la sciatique a décidé de redoubler son travail de sape, me privant de l'indispensable sommeil réparateur garant de mes débuts de journée.

    Une drôle de semaine avec la réception des papiers qui entérinent la fin d'une étape de quatre lustres, papiers que j'ai signé seule sur un coin de bureau, succession du paraphe de ces initiales que j'ai souhaité garder, patronyme intimement lié à celui de mes Fantastics, je n'avais aucune envie de reprendre mon nom de jeune fille, pas de recul, on avance et je ne suis plus une jeune fille. Puis appeler le co-signataire qui pouvait venir "cet après-midi", pas le temps de dire ouf, les papiers sur la table de la cuisine, un café, paraphes, signature, "c'est toi qui les envoies".

    Puis c'est vendredi, Véro l'auxiliaire du matin m'annonce une formation de 6 mois, soucis à venir, samedi travaux dans le salon, j'ai commandé les peintures et dans le jardin, avec des voisins qui déménagent et me donnent des pierres, des galets de la Durance pour dessiner des bordures, dimanche l'annonce d'une naissance chez des voisins et amis, bienvenue bébé !

    On avance, c'est une évidence. Il y aura du doux, du fort, du mouvant, de l'incroyable, du merveilleux et puis le reste aussi, à chaque jour son lot, à chaque étape son dessin, il n'y a pas de gomme pour nos passés mais des crayons de toutes les couleurs pour dessiner nos présents. Aujourd'hui j'ai commencé l'aquarelle, eau, pigment et liberté de créer. Pour mettre de la couleur à mes instants plaisir.

    On avance, naturellement, simplement, évidemment, nous sommes voyageurs sur le fleuve temps, au rythme des battements de nos coeurs, transporteurs d'épices et de sentiments, le décor défile, changeant, émouvant. Et le fleuve nous emporte vers ailleurs, croiser les lueurs d'autres vies qui avancent, comme une évidence.

    Amis nous croiserons-nous demain, dessiner ensemble une heure, un jour, un moment ? Choisir des couleurs et peindre le temps, main à main sur le pinceau, encre de Chine et aquarelle, défi à nos talents ?

    fleuve,temps,aquarelle


  • A nos fragilités

    http://www.deezer.com/music/track/1065892

    free music






    Puisque nous avons la chance de vivre, il nous est offert d'explorer nos fragilités, piqûres à nos mises à nu, effeuiller nos âmes dépouillées des fards, dévoilées nos faiblesses, acceptés les défauts de nos cuirasses. Renoncer aux limbes et se promettre de se souvenir d'avoir vu, même au coeur des brouillards.
    Explorer, découvrir, devenir.

    Et dévoiler nos cicatrices comme des armes puissantes, témoins présents de nos vécus. Le regard droit planté dans la vie, ne plus avoir peur, savoir. Remercier avant même l'expérience, avant la souffrance et goûter chaque instant baigné de lumière et d'ombre. Et de lumière.

    Coeur grand ouvert, aimer. Aimer tout, même, et surtout, nos fragilités.
    Car celui qui se sait fragile est humblement plus fort que l'ignorant.

    Aimez-vous, mais aimez-vous fragiles.

    fragile,aimer


  • Couleurs d'intérieur

    déco,salon,orange,mauve



    alors je compte sur vos avis avisés ! c'est pour le salon cette fois !
  • Ma dose

    Comme j'aime ce moment où la maison s'apaise et se prépare au sommeil.


    La journée a t'elle été bien remplie ?  Les rendez-vous et réunion honorés ? Le savoir transmis, les devoirs bien faits ? Dit ce  qui devait l'être ? Murmuré ce qui pouvait l'être aussi ? Ecoutée celle qui en avait gros sur le coeur ? Consolées, dorlotées, nourries, réchauffées, l'une et l'autre ? La journée de demain planifiée, le carnaval de la fin du mois imaginé, le prochain week-end, le prochain déplacement et le chien à placer... stop ..


     


    Stop.


    Ecoute.


     




    Ecoute et respire cette petite dose, cette petite musique qui parcourt tes veines de sa douce chaleur, c'est l'océan qui vient tempérer l'agitation de la journée, c'est l'heure où je suis moi pour moi.

    Je prends ma dose, prêtant attention au rythme intérieur, à l'unisson de ces quelques accords soigneusement choisis. Et mon esprit s'égare déjà, s'enroule en volutes, envolée de pensées magiques, malicieuses. Et si le rêve est de nuit, ce moment de fin du jour m'emporte aussi.

    Légère est la plume, au souffle chaud des harmonies.


    Une caresse pour l'âme solitaire, une douce ouverture à la nuit, puissante et subtile.

    Ecoute. Ecoute et respire, ose la fin du jour, aujourd'hui n'est presque plus, juste une petite dose, encore ...


  • Il neige

    Il neige. Oh rien d'étonnant à celà, c'était prévisible, annoncé, risqué. N'empêche qu'il neige, depuis le milieu de la nuit. Et ça continue de tomber, en rideaux serrés, un manteau de froid est venu recouvrir les quelques fleurs téméraires et impatientes de goûter au printemps, qui s'étaient risquées à pointer leur nez sous les caresses d'un soleil de janvier chaleureux et si bien venu dans cet hiver, certes clément, qui n'en reste pas moins un hiver.

     

    C'est le silence qui interroge, autant que les chants d'oiseaux entendus il y a peu. Et les pensées livrées à elles-mêmes virevoltent comme les flocons. Le temps est suspendu, la Provence soudain immobile, si vite pétrifiée par ces frimas auxquels elle ne s'habituera sans doute jamais.

     

    Ici rien n'est jamais prêt pour faire face au froid. Ici les changements de temps sont douloureux à mon corps avide de bon temps. Alors la maison se calfeutre, fait le dos rond sous l'eau cristalisée, la chaleur viendra de l'intérieur pendant quelques jours, -16 ° annoncés pour dimanche quand même ... espérons que les réserves rechargées ces derniers jours résistent à ce soudain grand froid, en attendant le dégel.

     

    Ici il neige, dehors aussi, en ces temps de vigilance orange. 

    vigilance orange.JPG

  • Trop

    Trop, trop, trop ... au galop, faudrait-il ajouter pour échapper à la marée qui monte.

    Trop de milliers de choses à faire, trop de courses, ménage, travaux, contrôle technique (en retard et vous ?!) trop de beaucoup de choses et pas assez de temps pour tout faire ou alors c'est le temps qui passe trop vite ? Je sais je l'ai déjà dit/écrit mais là ça prend des proportions que même Madame Ubiquité en perd sa faculté de jongler et son sourire entre défi et pied de nez aux impossibles. 

    C'est peut-être moi qui en fais trop ou qui en veux trop ?


    Samedi soir je suis allée à une fête trop bien, un nouvel-an chinois chez ma Catherine qui était trop belle !

    Chacun apporte un plat ...  j'ai fait des crevettes avec trop de tout, à commencer par les pousses de soja, faut être pris pour être appris, le goût des uns à noyé le goût des autres si finement ciselés avec mon nouveau copain magique : un gros couteau céramique "fégafatoi", bref de la mesure il faudrait sans doute, mais modération n'est toujours pas mon amie ! C'était bon quand même ! Me voilà posée au milieu de cette soirée et de certains que je n'avais plus vus depuis ... juin. Mais non ! Mais si. Depuis juin. Alors voilà au milieu des danseurs qui dansent j'introspecte et je me dis" bon sang mais que sont les six derniers mois devenus ?"


    Trop de soucis ces derniers mois sont venus alourdir la tâche, l'arrivée du chien tourne au cauchemar depuis quelques semaines, il me surprotège et attaque les auxiliaires de vie, ce qui est juste intolèrable. Alors la décision a été prise au grand regret de toutes, nous ne pouvons pas le garder. Trouver une solution qui soit bonne pour lui m'a pris un peu de temps, mais voilà, mardi, Aron quittera la maison pour être accueilli chez un maître chien. C'est une décision difficile à mettre en oeuvre, une séparation, un nouveau manque qui se prépare. Les lapins sont partis depuis samedi pour cause d'allergie d'une des Fantastics et le chat blanc (qui a décrêté que ses besoins devaient être faits dans les armoires !!!) sera accueilli dans une ferme auberge (il y a pire comme famille d'accueil : ce lieu est le paradis des animaux, il y a même un kangourou !).


    Une restructuration de mes fonctions décidée lors de mon déplacement de la semaine dernière devrait compléter les changements indispensables à mon retour à une vie un peu moins speed ...


    Et puis cette envie d'écrire qui me chatouille les neurones autant que la plume, et puis cette envie de redonner quelques éclats à ma "vie sociale" et aussi des possibles à explorer sans aucune volonté de modération ...


    Bien sûr en relisant d'anciennes notes je sais que mes nuits ont changé plus que mes jours. Trop de douleurs et de fatigue me terrassent bien plus tôt qu'avant. Une indispensable disponibilité pour mes filles, aux états d'âme parfois houleux, ne me livre à la nuit que bien trop tard souvent pour envisager d'écrire. Alors les heures de début de nuit me trouvent plongée dans mes pensées en attendant que le "trop mal" se transforme peu à peu en sommeil. ça dépend des pensées me dirait un certain. Oui ça dépend des pensées ... et si pouviez lire dans les miennes vous seriez immédiatement embarqués dans une farandole joyeuse, drôle, incroyable, palpitante, passionnante et terrible, en un seul mot : trop, non en deux mots plutôt : trop bien ! 


    Dimanche soir. Quel plaisir que ces quelques minutes partagées avec vous.

    A votre tour maintenant de me livrer vos pensées du soir, espoir ?

     

    ubiquité,femme,orange,espoir,pensees


    Fleur orange - Normandie




  • Comme un parfum d'orange et de magie.

    Je reviens de trois jours avec la chère équipe, trois jours lyonnais comme je les aime, les jours et les Lyonnais.

     

    Le départ avait été difficile, la fatigue présente et à venir, mon absence de la maison à laquelle s'ajoute celle de ma Petite Fantastic pour le week-end, et aussi parce que depuis septembre j'avais oublié.

    J'avais oublié comme c'est bon d'être avec eux, d'entendre vraiment leurs rires sans le filtre parfois saturé de la connexion orange. De sentir leurs folles énergies et de renouer les complicités.

     

    La distance a ses conséquences que la raison seule ne peut contenter, parce qu'il fait bon parfois de respirer le même air et de vibrer au même rythme et que le très intéressant télétravail n'empêche pas le très appréciable télatravail. Qu'il soit télé ou t'es là, il y a eu du travail, de la réflexion, de  la projection, de l'animation à venir, du travail mais pas que. Il y a eu aussi une soirée avec l'équipe presque au grand complet.

     

    Et cette soirée a été toute animée de magie, et quelle magie, de l'époustouflant, du bluffant, des Oh et des Ah voire même des ahahah amusés, yeux écarquillés et autres Put..n, mais on ne dit pas Put..n, on dit Magicien dixit le Magicien lui-même ! On dit même Pierre Manu créateur d'impossibles.  Je n'en dirai pas plus parce qu'il faut le voir ou plutôt être spectateur et ne rien voir pour apprécier pleinement son art et repartir la tête pleine de questions quant aux impossibles rendus possibles le temps d'un battement d'aile de papillon.

     

    En parlant de papillons, vendredi j'ai rencontré Marie Garnier, auteure du Nid des papillons, qui a la gentillesse de m'inviter à une projection d'Intouchables suivie d'un débat dans un lycée professionel de Lyon, ça c'est le déplacement lyonnais du mois de février qui s'annonce. Une jolie rencontre donc avec Marie, ou comment mettre une voix et de la vie sur un visage, connu figé sur Facebook. Une belle rencontre, un good-feeling immédiat ! Je me surprends à être intarrissable au sujet de ce film, il faut dire qu'il m'a touchée à plus d'un titre, du défilé des auxiliaires à la solitude, en passant par les cases dépendance, différence, probables sujets du débat. Il m'a touchée aussi par sa trame de fond au parfum d'orange et de magie et même si là ne sera pas le coeur du débat, ici le coeur bat et c'est bon.

     

    Je terminerai cette note saturnienne par un voeu mais chuuut vous savez bien que les voeux se font en silence, le mien je le confie au mistral qui souffle en diagonale ce soir.

     

    A vos voeux, prêts ? Voulez !

     

     

  • Chaud !

    Chaud, non pas les marrons ... les emplois du temps, oui l'été aussi !

    Je me languis que les filles soient en vacances vendredi, lever le pied un peu sur les horaires, les rendez-vous, les dates d'examen bac brevet, les décisions, les inscriptions, au milieu des kermesse, concert de chorale, pièce de théâtre, anniversaires, piscine party, pique-niques, journée de restitution, sans oublier les préparatifs pour la rando de Fantastic N° 2 qui part à cheval pendant 9 jours, entre deux sacs de week-end pour Fantastic N°4, le chien qu'il conviendrait d'amener trèèèèès vite au dressage et .....................

    et les nuits trop courtes entre deux journées de boulot, mes vacances c'est dans 5 semaines, et faudrait .... que je prenne un peu de temps pour moi ...

    Ben oui pas de problème, quelqu'un connaît Madame Ubiquité ?
    Ben si c'est une femme, vous ne le saviez pas ? ;)