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Ils m'artistent

  • Le temps de l’amour’

     

    Virginie,WILLAIME,yann,FREMY,mariage,amour






    Le chérir, cet Autre grâce à qui le cœur vibre de ce tempo si particulier.

    Et l’amour  chante sa musique, aux corps unis, vibrants, palpitants jusqu’au bout des doigts, jusqu’au bout de soi. Toi, ton émoi et moi, aussi.
    Le chérir cet amour, il est fragile. Pas comme du papier mouchoir, non.
    Fragile, comme un cristal, délicatement gravé, si ténu par endroit.
    Et puisqu’il est, comme du verre, il ne faut ni jongler, ni le heurter. Je vous l’assure. Ne même pas essayer. Après il est trop tard, qui dit fêlure dit brisure.
    C’est parce que vous ne l’éprouvez pas qu’il est fort, fort de votre confiance.
    Il se nourrit de vous, pour vous, en joie, chaque fois, qu’il se murmure ou se dise à haute voix. Les mots sont ses caresses, ses tendresses et tous ses frissons.
    L’amour poésie, en vers pétillants c’est comme allumer des bougies pour que le verre scintille, en toute transparence, en toute transcendance. Et il se danse aussi en fols tourbillons, envolées sous les cieux, étincelle des dieux, dire je t’aime à l’étoile. Et dans ses arabesques, petit pont et Grande Arche, dessine, sous les pas des aimés, la voie d’éternité, pour toujours mon amour.
    De ses temps lumineux en faire des tableaux. Colorés  magnifiques.  Toute une galerie et venir s’y promener, souvent, revivre chaque instant, ému comme jamais, comme toujours, tous les jours.
    En être si fier.Si, reconnaissant, d’avoir, pour un instant, croiser un jour, cet Autre.  L’être-vous  qui a, au fond des yeux, une certaine étincelle qu’on appelle l’amour. Et la vie. Et toute l’éternité.
     
    Que viennent les alliances et toutes les familles.
    Célébrons ces deux-ci à mille réunis, chantons l’amour, dansons la vie !
    Pour Yann et Virginie !
     
                                                                         WML
     

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  • L’évidence invisible par Pascal Croce

    J’ai rencontré Pascal lors d’un salon du handicap, sorte de foire expo ou on peut découvrir des innovations techniques, toutes sortes, des services mais ça vous le savez bien pour m’avoir suivi dans mes pérégrinations d’antan :)

    Certains de ces salons agrémentaient leurs programmes de démonstrations de sport et autres activités. 

    Pascal, lui, faisait danser des personnes à des divers degrés de validité. Mon cœur de danseuse en avait été tout retourné. Puis nous nous sommes croisés plusieurs fois par an au cours de ma vie professionnelle. Pascal avait toujours un mot gentil. Je l’ai ensuite retrouvé sur Facebook, suivant les tournées de sa troupe.

    Il y a quelques mois Pascal nous a fait la surprise de publier un livre. Décidément quel homme !

    L’évidence invisible. 

    C’est l’histoire d’une bromance (amitié entre hommes, contraction de brothers et romance, brother dans son sens fraternel, je vous assure être une maman LGBTQ+ ça enrichit le vocabulaire :D ), qui se révèle être .... ah ah vous ne croyez pas  que je vais tout vous dire hein :D

    Je vous ouvre mon cœur en partageant avec vous le message que j’ai envoyé à Pascal quelques minutes après avoir fini de le lire : Bonjour Pascal, je viens de finir ton magnifique livre et je suis extrêmement émue touchée conquise ! Ancienne danseuse avant la maladie, maman d'une jeune fille lesbienne et d'un fils trans gay dont le parrain est un ami d'enfance chorégraphe ancien voisin et partenaire de danse, j'avais de quoi me plonger corps et âme dans ton récit si finement ciselé et baigné d'amour ! Mille fois bravo Pascal !! Pour un peu que tu sois là je me mettrai debout pour te serrer fort dans mes bras. Merci du fond du cœur j'espère que pour le décrire aussi bien tu ... » (idem je ne vais quand même pas tout vous dire) ! Et mon avis de lecture sur Librinova : « Un magnifique roman ! Une histoire racontée comme au coin du feu, un thé à la main et l’âme dans les étoiles. Sensible, ciselé et rond-de-jambement bien mené ! Dans le monde de Cédric et Nathanaël le tempo est original, originel ! Le « tourné de page » est tel qu’il ne vous tombera des mains qu’une fois consommé jusqu’à la lie, le cœur tout chamboulé mais revigoré ! Un livre tendre et puissant à la fois. Bravo Monsieur Croce. »

    Décidément mes amis ont du talent :D

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    https://www.librinova.com/librairie/pascal-croce/l-evidence-invisible?

  • Les notes du cahier printanier

    les petites notes de mai, le coeur qui bat, les heures jumelles, écrire pour l'aventure :

    http://www.manu-autourdumonde.com/2017/08/comme-une-vie-a-la-mer.html

    les heures jumelles

     

    Et dans le cahier le récit d'une expérience née d'un temps de chaos pour une famille d'amis avec qui nous avons cohabité à la maison pendant 4 mois de mars à juin. Temps de solidarité et de guerre avec la municipalité dont je fais pourtant partie ...

    Nous vivons actuellement à deux familles. C’est un mélange doux-dingue et si vous pouviez y assister vous verriez que ce qui se voit en premier c’est beaucoup d’amour. Comme si la mise en commun de nos destins avait érodé nos aspérités car, ce qui se permet dans l’intimité d’une famille, s’assume beaucoup moins devant témoins. Le regard des autres mais aussi leurs exemples sont venus nous enrichir mutuellement. Les conflits individuels se diluent dans le groupe, les tensions s’oublient dans un rire ou le parfum des gaufres qu’un ou une aura confectionnées à dessein, pour régaler les petits ou récompenser les ados d’avoir planché sur leurs maths. Nos familles en miroir nous ont invités à nous pencher sur la notion de propriété, de partage, de solidarité d’entraide de respect de chacun, de liberté et de responsabilité, d’organisation. Les journées se sont enrichies de discussions, de projets de preuves de courage et d’encouragements, d’humour et de joie. Nous avons partagé nos peines et nos combats, nos connaissances et nos compréhensions. Oui, sans aucun doute, de mon point de vue, nous sommes aujourd’hui, malgré l’épreuve, plus forts.

     

    Et pendant ce temps je guettais le chèvrefeuille :

    http://www.lesfemmesendisent.fr/archive/2018/05/01/a-nos-printemps-6047934.html

    et le rossignol,  celui qui ouvre les coeurs les plus fermés et ravit les autres :

    http://www.lesfemmesendisent.fr/archive/2018/05/11/rossignol-emoi.html

     

     

  • Comme une vie à la mer

    longue route,manu et martin autour du monde

    La mer a dilué mon passé, elle est mon seul horizon. Monologue incessant de mes pensées repeintes en bleu. Dépendre d’elles, mes pensées et la mer, je les surveille. Epinglé sur la carte de ma vie, instant donné, latitude, longitude. Que savent-ils de moi les autres, ceux qui vivent quelque part ailleurs, les absents et ceux qui sont déjà morts ? Les heures sont rondes, mes divagations s’étirent nonchalantes, alanguies telles des chats dans un rai de soleil. Traversée solitaire. Seul sur la mer.


    J’enfante d’un nouveau moi, j’aiguise ma conscience de la fragilité comme sur une lame impérieuse de précision, d’honnêteté. Ici pas question de tricher sous peine de sentence immédiate, la mer y veille, puissante. Je dois faire corps, avec moi-même, avec l’embarcation qui me prolonge, avec elle, avec eux, qui m’attendent, sur la rive qui n’existe, alors, que dans mes souvenirs, mes rêves, mes espoirs et les cartes. Prendre soin de tous. Traversée solidaire. Seul, en mer.


    Je me découvre, le vent caresse ma peau brûlée par le grand maître des horloges. Que restera-t-il de nous ? Nos statues sont entières de cire, à genou, sous une pluie de feu et d’or. Les voiles comme des ailes offertes au ciel. Déplier le temps, dire l’absence de silence, contempler émerveillé l’insondable infini, relier les terres. Ne plus savoir qui être, anagramme divin, de l’étreinte ou de l’éternité. Traversée sol-air. Seul, ma mer.


    Je suis. Toi qui me lis. Mes cris, de souffrance ou de soie, quelques secondes à peine. Quelques labeurs heureux qui m’enchantent, me déchaînent, me conduisent où tu es, toi qui m’attendais, cet autre moi que je devinais, que je deviens, amusé de m’accueillir, de l’autre côté. Tu m’ouvres les bras. Choisir confiant l’étreinte et, dans une bouffée de joie, penser Terre ! Fin de la traversée. Seul, avec la mer.

     

    Et pour en savoir plus : http://www.manu-autourdumonde.com/

  • Les Printemps de l'Yggdrasil

    Après avoir cherché un éditeur traditionnel j'ai finalement décidé de mener cet événement fondateur de A à Z, de l'alpha à l'oméga ;-)

    J'ai donc publié Les Printemps de l'Yggdrasil sous ma propre édition "Editions du brouillard levant".

    Le livre est maintenant en vente sur le site Lulu.com

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    C'est une immense joie pour moi et le résultat de nombreuses heures d'un investissement très personnel.

    Puisse t'il être mon porte-parole !

    Pour aller sur le site de vente du livre, cliquez sur l'image ou ICI

    Vous pouvez laisser votre avis ICI

  • Six cent notes

     

    Six cent pages dans ce cahier, vertigineux colimaçon de mots en palier, reliés en cordon tressé vers l'ombilicale chaleur. Précieux phare du veilleur, fenêtre sur âme en ligne, repêche-moi ici, ailleurs. Six cent notes se balancent dans mon carnet. Funambule noctambule, écrire à la craie sur la voûte céleste, suspendue à un fil, pourvu qu'il soit de vie ou de lune. Rire, pleurer, jouer, aimer, écrire encore. Conjugaisons harmoniques aux cartes de mon ciel, grimoire de l'invisible à portée de vue, à mille lieux des lilas respirer leur chant et dire la prose comme une clé d'émoi. Du fond de moi à toi, aux étoiles, en pirouettes de couleurs, en blanches nuits, en cris de silence, larmes en papier, rires en paillettes, danse des bonheurs, verbiage incessant des douleurs. Clavier à nez de clown pour papyrus bavard et partageur.

    Et si la six centième ici se dit c'est que celui qui lit, relie à lui autant qu'à elle, celle qui, ce soir pour ceux-ci, scintille ces six si justes mots : VOUS ICI, SIX CENT MILLE MERCI !

  • Pat et Daniel, pour une chanson




    De tout coeur merci messieurs ...

    Les poèmes de Pat le Sarthois : http://patlesarthois.blog4ever.com/blog/lirarticle-161142-750039.html