UA-66561467-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

homme

  • Le dernier homme est une femme

    Après Les printemps de l'Yggdrasil, après Hache-Mine, je vous présente mon nouveau livre :

    Le dernier homme est une femme

    J'ai écrit ce livre au cours de l'hiver 2018-2019. Un hiver rude pour notre pays et pour le monde. Un hiver qui aura vu se lever de jeunes âmes militantes qui tentent de réveiller les coeurs quant à l'avenir de l'humanité sur notre planète qui se meurt, à cause de nous. Notre cupidité, notre violence, notre folie, nos envies matérialistes, nos soifs de puissance nous ont conduits dans une impasse. La volte-face n'est pas permise, le temps ne file qu'en marche avant. La solution ? Trouver des portes dérobées, lever les yeux au ciel ou creuser ?

    Eden et Nebiyou vous emmèneront des forêts nourricières de la nouvelle Allemagne jusque sur les Hauts-plateaux d'Abyssinie à la recherche de réponses et de voies, semant leurs questions comme autant de cailloux blancs ou devrais-je dire brillants ?

    Ce livre est ma participation à la lutte pour la préservation de notre Planète.

    Vous pouvez vous le procurer en ligne sur la plateforme Lulu.com sur ma page auteur :

    http://www.lulu.com/spotlight/mariedecker

    Je serai heureuse de recevoir vos avis ou répondre à vos questions.

    Une précision : toutes les données chiffrées ou scientifiques sont issues de mes recherches sur le net et accessibles à tous.

    Bonne lecture mes ami.e.s !

     

  • Dans le corps d'un homme



    Je viens de passer quelques jours en immersion dans le corps d'un homme ... pas n'importe quel homme : Daniel Pennac.

    "Journal d'un corps" est le titre éloquent du livre qu'il nous offre post-mortem. Des bribes de vie de 13 ans à son dernier souffle de plume sur le papier. Ce n'est pas un roman, c'est une curiosité intime ou comment être invité dans le rapport que Daniel entretient (ou pas) avec son corps qui parfois lui semble étranger à lui-même.

    Dérangeant ce livre ne manquera pas de l'être tant il est écrit sans aucune gêne, ni tabou. Parfois cru, toujours drôle. Pour un livre qui se défend d'être un journal intime il est quand même un concentré d'émotions vibrantes, touchantes, terriblement incarnées qui vous feront ressentir jusqu'au tréfonds petites victoires et grands bonheurs, corps qui exulte sous la caresse ou se cambre, pétrifié de douleur. Quand le corps se fait sens et langage, quand il se fait oublier, dévoré par un esprit qui parfois voudrait se libérer de cette enveloppe aux limites exaspérantes.

    Il nous raconte son ressenti charnel de la maladie de son père qui lui distille et lui transmet une sagesse subtile détachée des performances physiques. Son enfance faite d'odeurs et de goûts qui s'inscrivent et perdurent toute une vie. Puis la lente réappropriation de son corps dans lequel il ne se reconnaît pas durant de longues années. "La peur est dans les testicules" et de nous décrire au point de nous le faire ressentir ce qu'habituellement, par pudeur ou tradition, nous ne partageons jamais.

    Ce livre pour le moins original ne plaira pas à tous, il m'a plu même si j'étais très contente de sortir de ce corps et de retrouver ma féminité !

    daniel,pennac,journal,corps



    pennac,daniel



    daniel pennac



    daniel,pennac,journal,corps



    daniel,pennac,journal,corps



    daniel,pennac,journal,corps



    daniel,pennac,journal,corps


    "Nous sommes jusqu'au bout l'enfant de notre corps, un enfant déconcerté"

    Une vidéo à voir sur Amazon : http://www.amazon.fr/Journal-dun-corps-Daniel-Pennac/dp/2070124851

    Notre corps-monture, hôte obligé, le temps d'un passage en incarnation, corps à aimer et chérir pour prendre soin de soi avant, au terme d'une vie, d'en être libéré.

    Et vous chers amis, dont je ne connais pour certains qu'une part d'esprit, quel rapport avez-vous avec votre corps ?
  • Routes !

    Mardi début d'après-midi, je déjeune rapidement dans ma chambre d'un thé, d'une barre de céréales et d'un pain au chocolat. Je débarasse mon fauteuil de tout ce qui peut rester dans la chambre, un petit refresh devant le miroir et c'est parti, je rejoins l'équipe sur le salon. Distance hôtel / parc des expos selon le brief de l'hôtel : 600 mètres. à vol d'oiseau .

    Bon j'ai le plan en main ce qui ne m'empêche surtout pas de demander ma route à l'accueil de l'hôtel (je connais bien mes défauts !) je serais capable de regarder le plan à l'envers :)

    Après la boulangerie à droite ensuite c'est tout droit. Ben alors ça va !

    Après la boulangerie à droite et ensuite sur la route aurait-il pu dire ...

    Me voilà donc sur la route, sac sur les genoux, une main pour le tenir, pfffff il glisse ce sac, une main pour tenir le plan et une main pour le joystick du fauteuil, mince me faudrait une main de plus, voire deux : une aussi pour le téléphone :))

    Ca klaxonne un peu, étant sur la route je me retrouve entre deux voitures à attendre le feu vert, même pas peur, enfin presque ...

    Finalement je me débrouille bien et j'aperçois déjà les halls du parc des expos ... derrière la grille. Droite ou gauche le contournement du parc ? D'un côté ça monte, de l'autre ça descend, va pour la descente. Ben ça va durer encore longtemps cette grille superbement haute et surtout superbement fermée ... Un magnifique sourire plus tard je réussis à me faufiler par une entrée de service au passage d'un camion de livraison, quelques dizaines de mètres encore et me voilà devant un ascenceur ... en panne. Qu'à celà ne tienne je passerai par ... la route :)

    Et voilà le hall 4 qui m'ouvre ses portes, commencent les premiers bonjours, les "oh ben t'es là ? qu'est-ce que tu deviens ?" qui me rappellent que j'aurais pu ne pas y être, je raconte en quelques mots la fin d'une vie professionnelle, le début d'une autre et puis finalement toujours moi, là, une fois encore. Je suis tellement contente d'être, là, de les retrouver tous.

    Je parcours les allées encore toutes chiffonnées, cartonnées, plastifiées. C'est une fourmilière à taille humaine, certains disposent déjà stylos et plaquettes sur les présentoirs alors qu'à certains endroits d'autres posent la moquette des allées ! C'est l'heure studieuse où chacun besogne mu par le même élan impérieux : demain à la première heure tout doit être parfait. C'est l'heure où le commissariat général est rebaptisé le bureau des pleurs, là exercent des experts de la bobologie de l'exposant : vous n'auriez pas du scotch, un bout de ficelle, un petit crochet, je peux faire des photocopies ? non pas beaucoup, 50 ? et une rallonge, une multiprise, et pour la connexion Internet, vous pouvez me garder mon sac, prévenir mon copain que je suis au stand, les toilettes c'est où, z'auriez un plan de Paris et c'est où le métro le plus proche, j'ai fait livrer un paquet super hypra important par Toncolispaslà-Express vous l'avez parce que si vous l'avez pas je vais me faire virer ou me pendre ?

    Et puis à chaque minute ça prend forme, les stands s'élèvent, le matériel exposé est briqué, présenté sous son meilleur angle, c'est un coeur de ville qui se créé pour 3 jours, on y retrouve des boutiques, des services, des associations, les institutions, les anciens, les petits nouveaux et cette année le village-emploi. C'est là que je retrouve Niko. Le restant de l'équipe est sur le deuxième stand, à l'opposé en diagonale, je peux vous dire que cette diagonale là nous l'avons parcourue un certain nombre de fois en 3 jours !!

    Et voilà qu'arrivent Deza et Gorgik, rappelez-vous le projet Esthétique & Handicap, les photos ... et bien voilà elles sont là, 6 clichés qui vont orner les murs de nos 2 stands !! Et mon gorgik de se planter devant moi et de me dire : "je t'ai presque finie" ....

    Gorgik, le peintre, m'a ... presque ... finie.

    - "Tu ne savais pas ?" ajoute t'il en jetant un regard amusé à Deza ?
    - "ben non" dis-je ajoutant mon regard au sien, à notre Deza trop contente de l'effet de surprise.
    - "si tu veux je t'apporte une photo"
    - "ah ben oui, quand ?"
    - "vendredi"

    Dans 3 jours !!!!!!!

    Gorgik se transforme pour l'occasion en maître es accrochage pour les photos

    1118476159.jpg

    Vous la reconnaissez ?

    259372177.jpg

    ça penche ...679450326.jpg

    1439760121.jpg

    c'est OK946521119.jpg

     

    ça vaut bien une p'tite bagarre ?

     

     

     

     

     

    2143993551.jpg


    si je vous dis que j'appellerais bien cette photo CARACTERES vous seriez d'accord ? :))

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

     

    Et puis voilà le stand est prêt, il est 20h30.

     

    On va manger dans le coin ? Ok on y va à pied , ben oui par ... la route !!!

     

    Je dirais que j'ai fait 3/4 des trajets sur la route et 1/4 sur le trottoir, la France full access c'est pour quand déjà ??? 2015 ?? va être un peu juste non ?

  • Que du bonheur ... ou presque !

    Hello girls and boys et les autres !

    Back in Vaucluse depuis hier soir minuit ! Partie depuis mardi matin ça ne fait que 4 jours me direz-vous ? Oui ! Certes !

    Mais 4 jours intensément remplis, du rire (par wagons entiers), des larmes : de joie, d'émotions, de désespoir (et oui c'est ça aussi), des histoires vécues partagées, de la passion, de la conviction, de la volonté, des retrouvailles, des rencontres, du business, du travail, du boulot, du taff, des projets aboutis et d'autres à mener, des petits sandwichs et des bons restos, des petites nuits et des grands moments rrrrrrrrooo quatre jours comme je les adore ... j'en veux ENCORE !!!!

    Vous l'aurez compris, bien trop riche pour tout vous raconter en une seule note et puis là je m'en vais squatter la balancelle pour une sieste amlpement méritée et nécessaire ... oui ça aussi j'adore des fois !

    Je vous dis à tout de suite !

    877359449.gif

  • Lève-toi et marche !

    Fausse disparition à La Chapelle-sur-Erdre : un imposant dispositif de recherche mobilisé

    Dimanche, en bordure du Gesvre, la disparition d’une personne handicapée durant quelques heures a nécessité le déploiement d’un impressionnant dispositif. La personne avait finalement regagné son domicile.

    Branle-bas de combat dimanche en fin de journée. Gendarmes et sapeurs-pompiers ont été confrontés à un vrai faux scénario-catastrophe. Il est 18 h, à La Chapelle-sur-Erdre. En bordure du Gesvre, sous « le viaduc de la verrière », des promeneurs découvrent le fauteuil d’une personne handicapée, vide, mais aussi un important attirail de pêche, ainsi que deux ou trois lignes lancées dans le cours d’eau. Inévitablement, les marcheurs pensent à un accident et alertent les gendarmes.
    La disparition est effectivement jugée inquiétante et un imposant dispositif de recherche est immédiatement déployé. Vingt gendarmes, assistés d’une vingtaine de sapeurs-pompiers, parmi lesquels six plongeurs, sont mobilisés pour tenter de retrouver trace du disparu.
    Domicile regagné en stop
    Les opérations s’avèrent d’autant plus complexes qu’aucun document permettant d’identifier le ou la disparue - permis de pêche ou autres papiers mentionnant le nom et l’adresse de la personne concernée - ne figure parmi les affaires de pêche laissées près du fauteuil. Tandis que les plongeurs sondent le fond du cours d’eau, les gendarmes s’emploient à ratisser les abords du Gesvre, en amont et en aval du lieu où est positionné le fauteuil roulant.
    Et puis, heureux dénouement à 20 h 30, lorsque les gendarmes voient arriver une femme qui vient chercher tranquillement le fauteuil de son mari et ses affaires de pêche.
    Arrivé sur les lieux vers 14 h, l’homme, âgé de 64 ans, a perdu patience en ne voyant pas son épouse venir le rechercher en fin d’après-midi. Il est alors remonté à la force des bras jusqu’à la route et a regagné son domicile en faisant du stop. Ne pensant évidemment pas que son absence allait susciter un tel émoi.
    Presse-Océan
    Allez va je partage ce petit potin avec vous parce qu'il m'a fait sourire :)
    Bernardo a toujours dit qu'un jour (sic) il se baladerait en fauteuil dans la foule et soudain se lèverait et marcherait, juste pour voir la réaction des gens ... bon ok il l'a dit et il l'a pas fait, n'empêche que ça ferait une belle caméra cachée !!!